
Une entrée dans la magie sans mode d’emploi
Je me suis lancé dans ce jeu sans vraiment savoir à quoi m’attendre. Pas de longues attentes, pas de préparation mentale particulière: simplement l’envie de découvrir. Et c’est précisément ce manque de connaissances préalables qui a rendu l’expérience aussi mémorable. Dès les premières minutes, le jeu m’a happé dans une tour de sorcier vivante, étrange, presque tangible, où chaque objet semble avoir été posé là avec une intention précise… ou pour me surprendre.
Skully, un compagnon aussi bavard qu’imprévisible
Très vite, Skully devient le cœur battant de l’aventure. Cet assistant (un crâne flottant) n’est pas qu’un guide: c’est un véritable partenaire de jeu. Ce que j’ai adoré par-dessus tout, c’est la possibilité de lui parler naturellement. Lancer des commandes vocales, tester des phrases improbables, improviser… et voir Skully réagir, commenter, se moquer ou s’enthousiasmer. Chaque interaction donne l’impression d’un dialogue organique, presque improvisé, comme si le jeu s’adaptait réellement à ma curiosité et à mes élans spontanés.

Une tour magique où tout semble possible
L’univers de Waltz of the Wizard se déploie comme une toile magique où les règles sont malléables. Mélanger des ingrédients dans un chaudron bouillonnant, activer des mécanismes cachés, découvrir des secrets absurdes dans les moindres recoins: tout invite à l’expérimentation. Le jeu ne vous dicte pas une seule manière de jouer. Au contraire, il encourage à toucher à tout, à essayer, à provoquer le monde pour voir comment il réagit. Cette liberté donne l’impression grisante d’avoir de véritables pouvoirs magiques entre les mains.

Des pouvoirs qui nourrissent la curiosité
Les dizaines de pouvoirs disponibles ne servent pas uniquement à impressionner. Ils deviennent des outils d’exploration et de jeu pur. Plier les lois de la physique, manipuler les éléments ou déclencher des réactions inattendues transforme chaque session en terrain de jeu créatif. Même les activités les plus étranges, comme tester des inventions absurdes avec Skully, participent à ce sentiment de découverte constante et joyeusement chaotique.

Une aventure plus vaste qu’elle n’y paraît
Au-delà de la tour, le jeu révèle une campagne plus structurée, avec des défis, des énigmes et un scénario qui donne envie d’aller plus loin. Les extensions intégrées enrichissent encore l’expérience : chasses au trésor, pouvoirs vocaux rapides, génération de niveaux infinie… On sent un souci du détail et une volonté claire d’offrir un contenu généreux, conçu pour être exploré à son rythme. Je serais vraiment tenté d’essayer la version VR pour voir la différence et l’immersion que celle-ci apporte.

Une expérience marquante, même à l’aveugle
Ce qui me marque le plus, au final, c’est d’avoir adoré Waltz of the Wizard sans en connaître les codes à l’avance. Le jeu m’a accueilli tel que j’étais: curieux, joueur, prêt à parler à un bout de squelette et à tester des idées farfelues. C’est une expérience magique, au sens le plus pur du terme, où l’émerveillement naît de la liberté, de l’humour et de l’impression constante que, ici, absolument tout est possible.
Merci à Aldin Dynamics pour la copie du jeu.

Pour se procurer le jeu, c’est ici.


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