
Fidèles membres de la communauté de G pour Geek, je vous salue. Moi, Frank le Dieu Geek, reviens parmi vous avec une nouvelle critique du manga Elden Ring – Le chemin vers l’arbre-monde de Nikiichi Tobita. Cette œuvre parodique du jeu du même nom, maintenant célèbre à travers le monde, vient du grand studio From Software. Ce manga est distribué en français par les éditions Mana Books.
Êtes-vous prêt à savoir ce que j’en ai pensé? J’espère que oui, parce que vous ne seriez pas ici pour lire ces lignes… Et si vous n’avez aucune idée de pourquoi vous êtes tombé sur cet article, je me poserais beaucoup de questions sur votre santé mentale. Mais n’hésitez pas à aller lire mes autres articles sur le sujet sur le site de G pour Geek — question de ne pas vous faire spoiler.
Un festival de coups… et de gags
Notre héros Sans-nom, un Sans-Éclat qui ne sait vraiment pas ce qu’il fabrique dans ce monde, mise à part qu’une femme étrange nommée Melina lui dit de se rendre à l’Arbre-Monde. Son périple n’est pas sans embûches et… moments cocasses (je vous rappelle, c’est une parodie).
Dans ce volume, Sans-nom se rend au château du Lion Rouge, où se déroule le “festival martial”. Lui et des participants plutôt excentriques, dont deux avec qui Sans-nom a déjà collaboré — Sir Alexander et Blaidd — vont participer à ce festival. Le but de celui-ci est d’affronter le plus puissant des demi-dieux, Radahn, pendant qu’il revit ses derniers instants. Ce n’est pas une tâche facile : c’est un adversaire très puissant. La joyeuse troupe est sur le bord de l’anéantissement, quand Melina vient leur faire une suggestion d’une tactique secrète.
Un ton plus sérieux… mais pas trop
Ce manga, à l’inverse des autres, est vraiment plein d’action. Je vous rappelle que dans les autres volumes, les altercations entre Sans-nom et ses adversaires étaient plutôt loufoques. Cependant ici, nous avons affaire à un vrai combat, qui ressemble beaucoup à celui du jeu — toutefois avec un brin d’humour.
Disons que les collègues de Sans-nom ne sont pas tous de courageux combattants… du moins, s’ils l’étaient, Radahn leur a fait perdre leur bravoure. Ce que j’ai aimé dans ce manga — comme dans les autres aussi — c’est vraiment le côté où l’on met de l’humour sur le côté titanesque que le jeu offre. Comme Radahn, qui chevauche une monture frêle alors que lui est un être colossal.
Souvent, les jeux de From Software nous offrent des designs visuels qui sortent de l’ordinaire et semblent venir d’un cauchemar, mais dans le manga, les explications données sur ces visuels sont vraiment drôles. Le périple continue après cet affrontement, et Sans-nom devient de plus en plus fort. Est-ce que ses vêtements finiront par survivre à un affrontement?
Un visuel digne d’un Soulslike
Encore une fois, le visuel est vraiment beau. On respecte vraiment le style qui a été donné au jeu et l’ambiance y est. Ça contraste avec le côté humoristique, mais ça fonctionne. C’est impressionnant qu’il y ait autant de travail sur le dessin pour un manga humoristique — on voit bien que Tobita veut rendre hommage à ce monde créé par Hidetaka Miyazaki.
En route vers une histoire plus profonde?
Je ne suis toujours pas fatigué de ma lecture, et en plus, elle commence vraiment à devenir intéressante, car Sans-nom va se retrouver dans un dilemme qui le confronte dans ses choix. Les blagues sont encore très drôles, je ne ressens pas de répétition, et le dessin est encore incroyable.
Merci à Interforum pour la copie du livre.

Pour se procurer le manga, c’est ici.


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