Développé par Jeff Winner et édité par CreativeForge Games, DeathOmen est un jeu d’horreur psychologique dans lequel vous devrez faire face à divers événements. Saurez-vous résoudre les problèmes et garder votre sang-froid ?

Des évènements étranges
Vous incarnez votre propre personnage. Votre travail consiste principalement à surveiller des caméras de surveillance et à rapporter tout élément suspect. Votre personnage souffre de paralysie du sommeil et d’agoraphobie. Pour y faire face, vous devrez prendre vos médicaments et vous nourrir. Dans la maison où vous travaillez, plusieurs événements paranormaux se produisent. Vous devrez affronter des esprits qui pourraient être cauchemardesques. Il faudra explorer la maison pour récupérer des objets clés, comme des fusibles pour rétablir le courant. Au fil de votre progression, vous découvrirez des éléments essentiels de l’histoire de votre personnage : pourquoi est-il si troublé ? Quelle est l’origine des phénomènes paranormaux auxquels vous faites face ? Chaque découverte vous apportera un fragment supplémentaire de l’histoire.

Une immersion réussie
DeathOmen s’adresse avant tout à un public habitué à ce type de gameplay. Il y a très peu d’explications sur le jeu et aucun tutoriel, ce qui peut rendre l’expérience confuse. J’aurais aimé plus de clarté à ce sujet. Le jeu a du potentiel, avec de nombreux détails, mais certains sont sous-exploités. Par exemple, votre métier consiste à surveiller des caméras pour gagner de l’argent, payer vos médicaments, vous nourrir et acheter une lampe torche, mais j’aurais aimé que les caméras aient un rôle plus important. Cependant, l’ambiance et le grand nombre de jumpscares offrent une immersion totale. Les graphismes sont bien réalisés, et j’ai particulièrement apprécié le sound design. Affiché à 8,99 CAD plus taxes sur Steam, DeathOmen est un petit jeu de courte durée(environ 1h30) qui en vaut la peine. Malgré ma peur des jeux d’horreur, j’ai apprécié mon expérience, notamment pour son aspect psychologique.

Merci à CreativeForge Games pour la copie du jeu.

Pour se procurer le jeu, c’est ici.

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Avatar de Frank The Simgeek

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