Une autre critique d’un petit jeu, offerte par votre énigmatique Dieu Geek. On fait encore appel à ma vaste expertise pour vous présenter Scarlet Tower, développé par Pyxeralia, disponible sur Nintendo Switch depuis le 23 mai 2024. Ce jeu s’adresse particulièrement aux fans de Vampire Survivors. Toutefois, rassurez-vous, il ne s’agit pas simplement d’une copie, mais bien d’un jeu à part entière, bien que le principe de se déplacer dans un « sandbox » pour survivre pendant un temps donné soit similaire.

Ce qui distingue Scarlet Tower, c’est l’ajout d’options supplémentaires lors des déplacements. On peut désormais utiliser un « dash » et même déclencher un « ultimate ». De plus, chaque niveau propose des missions spécifiques qui, une fois accomplies, permettent souvent de recruter des compagnons pour vous aider à progresser. Cela enrichit considérablement l’expérience de jeu. Certes, on ressent l’influence de Vampire Survivors, notamment à travers certaines habiletés qui semblent très proches, mais Pyxeralia parvient malgré tout à offrir un produit original. Les combats contre les « boss » sont particulièrement bien conçus, et certains niveaux introduisent des mécaniques innovantes qui renouvellent la manière de jouer.

Cependant, le jeu souffre de quelques limitations graphiques sur Nintendo Switch. J’ai remarqué des ralentissements lorsque l’écran est chargé d’ennemis et d’effets, mais rien de trop problématique. J’aurais aimé un peu plus de soin apporté au visuel et, surtout, à la bande-son. À vrai dire, j’ai fini par jouer en mettant ma propre musique en arrière-plan. Malgré ces défauts, le jeu reste agréable à regarder et à jouer.

En conclusion, Scarlet Tower est un titre très plaisant, en particulier si vous appréciez ce type de jeu. De plus, à seulement 5,99 $, c’est un excellent investissement. La rejouabilité est infinie grâce à l’impressionnante variété de personnages disponibles. Les niveaux, quant à eux, peuvent être rejoués avec une « corruption » accrue, augmentant ainsi le défi avec davantage d’ennemis redoutables.

Merci à Pyxeralia pour la copie du jeu.

Pour se procurer le jeu, c’est ici.