
Tout comme Trash, je suis un grand fan de jeux de plateforme depuis mon plus jeune âge. Ces jeux ont toujours eu un charme particulier, et ce qui est fascinant avec la nouvelle génération de jeux, c’est qu’ils parviennent à séduire aussi bien les enfants que les adultes. Les développeurs ont trouvé un juste équilibre, proposant des niveaux de difficulté accessibles, tout en ajoutant des défis optionnels pour ceux qui cherchent un challenge supplémentaire.

The Plucky Squire est un parfait exemple de cette évolution. Le jeu parvient à mélanger plusieurs éléments issus de franchises bien établies, créant ainsi une expérience unique. Par exemple, l’influence de The Legend of Zelda se ressent dans la mécanique de basculement entre différentes dimensions, où l’on peut entrer et sortir des décors, un peu comme si l’on explorait un univers parallèle. On y retrouve également des touches de Little Big Planet avec un accent mis sur la collection d’items, et Paper Mario avec son esthétique inspirée des livres à colorier.

Ces éléments fusionnent harmonieusement, donnant naissance à une identité propre. Le jeu ne se contente pas de rester sur une seule formule, intégrant des mini-jeux, notamment lors des combats de boss, pour diversifier encore davantage l’expérience. Ce mélange habile de gameplay en 2D et en 3D crée un sentiment de fluidité et de variété qui maintient l’intérêt tout au long de l’aventure.

Bien que The Plucky Squire puisse paraître un peu enfantin et relativement court, il réussit à capturer cet esprit d’émerveillement que beaucoup d’entre nous ont ressenti en découvrant pour la première fois les jeux vidéo. C’est un véritable retour en enfance, où chaque pixel nous ramène à l’époque où nous explorions des mondes magiques à travers nos écrans, remplis de couleurs et de rêves.
Merci à Devolver Digital pour la copie du jeu.

Pour se procurer le jeu, c’est ici.


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