Lorsque nous avons été contactés pour parler du jeu, bien qu’il soit sorti en 2016, j’étais assez méfiant. Pas parce que c’est un mauvais jeu, bien au contraire. Ce n’est tout simplement pas mon genre. Mais quand le courriel mentionnait l’ajout de Castlevania, j’ai tout de suite sauté sur l’occasion. Car oui, le jeu date de 2016, mais le studio a fait de ce jeu la maison des horreurs, et Castlevania y fait son entrée.

Avant de vous parler du contenu de la célèbre franchise de Dracula, je vais prendre quelques minutes pour vous expliquer en quoi consiste le jeu. Dead by Daylight a pour but de vous faire vivre l’expérience d’un film d’horreur. Avec trois de vos amis ou d’autres joueurs, vous devrez survivre face à un tueur. En tant que survivant, votre objectif sera de réaliser quelques tâches, avec pour but final de vous échapper du niveau. Cela, bien sûr, si les survivants remportent la partie, car le tueur peut aussi semer la terreur et faire un véritable carnage. Lorsqu’il ne reste qu’un seul joueur, une trappe s’ouvre, permettant à ce dernier de s’échapper rapidement, ce qui ajoute un stress supplémentaire pour les deux derniers joueurs encore en jeu.

Il faudra jouer prudemment, car vous pouvez à tout moment alerter le joueur incarnant le tueur de différentes manières. Surtout si vous ne vous déplacez pas en mode accroupi, car il pourra vous suivre grâce à une aura rouge que vous laissez derrière vous. Le tueur, quant à lui, possède une capacité spécifique à son personnage, et contrairement aux survivants, il se joue à la première personne. Je peux vous assurer qu’incarner le tueur et causer de sérieux dégâts est très satisfaisant.

Aujourd’hui, le jeu possède une immense fanbase, même si, graphiquement, il commence à dater. Cela dit, ce n’est pas assez pour gâcher l’expérience de jeu. Parlons maintenant du contenu lié à Castlevania. Vous aurez la possibilité d’incarner Trevor Belmont, le grand chasseur de vampires, en tant que survivant, et Dracula en tant que tueur. Plusieurs costumes sont également disponibles, et sachez que c’est un vrai plaisir de les avoir en main. Sur vingt parties, je n’ai eu la chance d’incarner Dracula que deux fois, mais sa puissance est vraiment impressionnante.

Le prix du jeu est abordable et le contenu est tout simplement énorme. Il est le maître de son genre, en plus d’être un jeu développé ici, au Québec. Même si ce n’est pas du tout mon style de jeu, j’ai pris beaucoup de plaisir à y jouer, et j’ai été agréablement surpris. Je n’ose même pas imaginer à quel point cela pourrait être amusant en jouant avec des amis !

Merci à Behaviour Interactive pour la copie du jeu.

Pour se procurer le jeu, c’est ici.

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