Pour comprendre le jeu, il faut d’abord savoir ce qu’est un schim. Un schim, c’est l’âme et l’esprit d’un objet ou d’un être vivant. Dans la peau d’une créature mignonne, vous devrez vous rendre à certains points, trouver des objets cachés et incarner des personnages qui auront besoin de votre aide pour résoudre des problèmes.

Le but du jeu consiste à sauter d’ombre en ombre dans un environnement relaxant et animé afin d’atteindre vos objectifs. Ce jeu de plateforme 3D prend des éléments de lumière, d’ombre et d’animation et les ajoute directement au gameplay. Ce dernier me rappelant quelque peu Fez avec sa manipulation d’angles de caméras.

L’expérience de chaques tabelaux repose sur une exploration intuitive et une interaction harmonieuse avec le monde qui vous entoure. Chaque mouvement est une danse entre les ombres, et chaque saut, un bond vers la découverte de secrets enfouis. Le design visuel, soigné et apaisant, crée une atmosphère qui invite à la réflexion et à la contemplation. Les puzzles sont intelligemment conçus, demandant au joueur de réfléchir sur l’utilisation de la lumière et des ombres pour progresser.

Les personnages que vous rencontrez, chacun avec leur propre schim, enrichissent l’histoire et apportent une profondeur émotionnelle. La beauté de SCHiM réside dans son parcours aux traits d’une bande dessinée rustique mais, avec élégance et c’est tout à son honneur.

Merci à Extra Nice pour la copie du jeu.

Pour se procurer le jeu, c’est ici.