
Il s’agit de la plus longue série de science-fiction de tous les temps comptant 687 épisodes. J’ai eu la chance de pouvoir jeter un œil à la 36e saison de Docteur Who, la première saison du quinzième Docteur interpréter par Ncuti Gatwa. Sachez que l’épisode 0 de la série, le spécial (4) noël intitulé L’Église de Ruby Road est disponible depuis décembre 2023 sur la plateforme de diffusion Disney+. La saison sera diffusée sur Disney+ à compter du 10 mai 2024 et comptera 8 épisodes plus l’épisode spécial Noel.

L’épisode spécial noël a un style particulier de réalisation avec des chansons chantées par les acteurs ainsi que par les différents personnages comme on retrouverait dans les dessins animés de Disney. Cette épisode permet de mettre en contexte l’histoire de Ruby Sunday, interprété par Millie Gibson. Il y a 19 ans, une femme encapuchonnée abandonne un bébé devant l’Église Ruby Road un dimanche. Ruby tente de retrouver ses parents biologiques en vain et se retrouve confronté à une malchance anormale et a plusieurs rencontre avec le Quinzième Docteur. Après que sa mère adoptive, Carla, ait accueilli un autre bébé, Ruby voit des gobelins kidnapper le bébé et monte à bord de leur vaisseau volant pour tenter de la sauver, rencontrant à nouveau le Docteur. On remarque rapidement dans le premier quart de l’épisode que l’on cherche à rejoindre un public plus jeune avec cette adaptation du célèbre Dr Who.

L’épisode 1, je la qualifierais de spécial à un autre niveau comparativement a l’épisode spécial Noel. Intitulé Space Babies, une fois de plus le tout est réaliser de façon à plaire aux plus jeunes sans pour autant avoir ajouté des chansons au scripte fort heureusement. Le Docteur et sa compagne voyagent dans le futur à bord du TARDIF, la cabine téléphonique britannique typique des années 60, qui est selon moi la seule chose jusqu’à maintenant qui est à l’image de Dr Who tel qu’on le connaît. Des nouveau-nés qui parlent et qui sont effrayer par une créature, le Bogeyman ou communément appelé le croque-mitaine. Vivant seul avec leur nounou sur un vaisseau, ils demanderont l’aide du Docteur et de sa compagne pour s’en débarrasser.

Le Bogeyman n’est pas une réussite niveau CGI digne des série de 2024, mais l’ensemble des décors sont toutefois une réussite. La réalisation a été séparée en cinq blocs laissant libre cours aux 5 différents réalisateurs ce qui explique peut-être la tournure des événements. Russell T Davies a écrit sept épisodes sur neuf de la série, connu pour Torchwood et pour c’est participation au précédente séries Dr Who. Stephen Moffat qui a déjà écrit des épisodes de Dr Who aussi, a quant à lui rédiger l’épisode 3 de cette saison et pour finir l’épisode 6 est écrit par Kate Herron qui a participé a la réalisation de sex education du côté de Netflix. J’ai hâte de voir où tout ce beau monde va réussir à nous amener.

Pour finir je suis perplexe a savoir si les grands fans de la série retrouveront l’essence du Docteur Who connu précédemment. Elle offre assurément un excellent divertissement en famille. Le reste de la saison est prometteuse malgré tout. Pour ceux qui seraient curieux, sachez qu’il y a 3 autres Dr Who spéciaux disponibles sur la plateforme de diffusion Disney+. Bonne écoute!
Merci à Disney pour la projection en avant-première.

Pour écouté la série télé, cliquez ici.


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