
Écrit par Neil Gaiman, assisté au dessin par Andy Kubert, Marvel 1602 réinvente et réinterprète certains des personnages les plus importants de l’univers Marvel au tout début du 17e siècle. Alors que le roi James d’Écosse convoite le trône de la reine Élizabteh d’Angleterre, Sir Nicholas Fury est chargé de retrouvé une arme ancienne et très puissante cachée quelque part à Jérusalem. Au même moment, le climat se dérègle à travers le monde, signe imminent de la fin du monde selon le magicien et médecin de la reine: le Dr. Stephen Strange. Et si cela avait un lien avec la jeune Virginia Dare, première enfant né dans les nouvelles colonies d’Amérique, qui vient de débarquer en Angleterre pour rencontrer la reine?
J’ai toujours aimé les récits d’histoire alternative. Marvel 1602 réussit à raconter une histoire de complot et de lutte de pouvoir très divertissante, tout en réinventant bon nombre de personnages clés de l’univers (que je vais vous laisser découvrir par vous-mêmes). Sans compter que le dessin est fantastique. Je regrette toutefois que certains personnages introduits dans l’histoire n’aient pas eu autant d’impact que je l’aurais souhaité. En guise d’exemple: à quoi bon avoir Peter Parker (Parquah) si Spider-Man est absent? Aussi, je trouve dommage que le récit nous mène vers une énième histoire de multiverse; j’aurais préféré une histoire complètement indépendante.
En somme, j’ai bien aimé Marvel 1602 pour sa réinvention de ses personnages et son récit prenant, mais la fin n’a pas répondue à toutes mes attentes.
Merci a Hachette pour la copie de la BD!

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