J’avais adoré le premier tome, avec un dieu nordique revenant à la vie, luttant constamment pour empêcher ou provoquer le Ragnarok, dont les détails n’étaient pas encore clairs dans le premier opus.

Le Ragnarök, le crépuscule des dieux, s’est déroulé. Cependant, la croyance populaire profondément enracinée voulant que le mal soit anéanti simultanément avec les dieux lors d’une confrontation ultime s’est révélée erronée. Seuls les dieux ont péri. Les Neufs Mondes ont cédé la place aux Contrées du Crépuscule, un vaste territoire crépusculaire abritant des hommes, des trolls, des démons, divisé en différents royaumes et soumis à la tyrannie des Grands Ennemis.

Après des siècles, un dieu unique est apparu dans ce monde post-Ragnarok, Thor, le Dieu du Tonnerre. Cependant, Angantyr, le Seigneur des Morts, a découvert son retour et a libéré ses draguars, des morts-vivants, contre le Dieu du Tonnerre, cherchant à détruire le dernier vestige des anciens mondes, le seul espoir restant pour le présent.

Le deuxième tome aborde divers sujets pour répondre aux énigmes posées dans le premier opus, développant de manière approfondie les personnages clés. C’est probablement sa plus grande qualité car en tant que lecteur, on désire en savoir davantage sur le personnage principal. Personnellement, j’ai trouvé que le dessin était encore plus beau que dans le premier tome, évoquant les X-Men de mon enfance. Avec tous ces éléments, il est difficile de ne pas être enthousiasmé par la série jusqu’à présent.

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