Nous sommes à l’époque post-The Boys, et donc par conséquent, tout le monde et leur grand-mère est fan d’Antony Starr. C’est donc avec grand plaisir que je me suis installé devant La Maison du Mal, film d’horreur de Samuel Bodin.

Peter est un jeune garçon timide et surprotégé par ses parents. Une nuit, il entend quelqu’un l’appeler à travers le mur de sa chambre. Cette voix, d’abord innocente, se montrera bientôt inquiétante dans ses propos, surtout lorsqu’elle mentionne que les parents du petit Peter ne sont peut-être pas ce qu’ils prétendent être.

Le film souffre d’être un peu trop générique, surtout lorsqu’il essaie de faire peur. On tombe dans les mêmes tendances qu’on voit partout et, même si ça reste efficace de temps en temps, on s’en lasse rapidement. Le jeu d’acteur est convaincant malgré tout, surtout dans le cas de Starr qui est parfois carrément terrifiant dans le rôle du père.

Pas un mauvais film, mais un film sans grande originalité et qui souffre de plusieurs invraisemblances, même pour un film d’horreur!

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